LE CONTEXTE SUR LE PLAN SANITAIRE
100% des femmes enceintes sont porteuses d’un cocktail de PE, pesticides, dioxines, PCB, médicaments, métaux lourds… dans lequel baignent tous les enfants qui naissent actuellement en France.
93% des rivières sont contaminées par les pesticides et herbicides, 36% sont impropres à la consommation humaine.
baisse de 50% de la fertilité masculine en 20 ans en Europe avec anomalies génitales chez les petits garçons (micropénis, hypospadias, cryptorchidies).
baisse du QI de 20% en 20 ans (« Demain tous crétins ? » Émission sur Arte le 11/11/17) avec troubles du neuro développement, autisme, arriérations mentales, leucémies chez les enfants du fait des perturbateurs endocriniens présents partout.
75% des insectes ont disparu et la perte des abeilles concerne 60% des fruits et légumes que nous consommons, laissant envisager une pénurie alimentaire à courte échéance.
En France, en 2015, l'espérance de vie à la naissance diminue, aussi bien pour les femmes (- 0,4 an) que pour les hommes (- 0,3 an) (source INSEE).
L’espérance de vie a commencé à diminuer aux Etats-Unis. En 2016, elle était de 78,6 ans contre 78,7 ans en 2015, et 78,9 ans en 2014.
S’agissant de la qualité de l’eau et de la consommation
Les caractéristiques physico chimiques et bactériologiques des eaux de consommation humaine EDCH correspondent aux normes de potabilité de la DDASS mais connaissent des insuffisances liées principalement à :
- la fixation de certains seuils à partir desquels l’élément toxique est à éliminer pour des raisons de coût des matériels et non pour des raisons strictement biologiques
- la non considération de la toxicité de certains éléments toxiques issue d’une faible concentration n’activant pas les défenses immunitaires
- la non considération de la charge de la minéralité globale dissoute, toxique ou non toxique, créant après ingestion (si elle dépasse un certain seuil) une faible fluidité du sang entrainant un travail cardiaque augmenté et des échanges capillaires, nutriments et déchets métaboliques, freinés. Par ailleurs, les minéraux nécessaires au métabolisme sont à ingérer chélatés par des fruits et légumes de qualité et non par l’eau où ils ne sont généralement pas chélatés donc partiellement assimilables et générateurs d’intoxication
- la non prise en compte de certains éléments pouvant présenter des risques de toxicité, tel que le chlore utilisé pour aseptiser l’eau dans les canalisations
- la non prise en compte des déchets médicamenteux et médicaux
- la non application de la Bio Électronique de Vincent quant à ses 3 critères : les états acido basique, oxydo réducteur et la minéralité globale dissoute
En résumé : les considérables progrès de la médecine ne peuvent cacher une réalité qui doit nous interpeller le plafonnement autour de 62 ans de l’espérance de vie en bonne santé avec une explosion des maladies chroniques et dégénérescences diverses qui doivent conduire à une réflexion sur la nécessité de retrouver une alimentation saine en intégrant le facteur fondamental de la qualité de l’eau.
LA CONSÉQUENCE DE LA DÉFIANCE DES CONSOMMATEURS POUR L’EAU DU ROBINET : LE DÉSASTRE ÉCOLOGIQUE DU PLASTIQUE
Les français consomment et jettent 9,4 milliards de bouteilles en plastique par an. Seulement 49% d'entre elles sont recyclées. Si les choses ne changent pas, il y aura plus de plastique que de poissons dans les océans d'ici 2050.
L'eau en bouteille est-elle pour autant meilleure ?
Les eaux embouteillées présentent les insuffisances principales suivantes pour la santé :
- elles sont susceptibles de contenir des éléments issus des matériaux généralement plastiques de la bouteille, élément susceptibles eux-mêmes de présenter des risques de toxicité, avec en particulier l’incertitude existant quant aux conditions climatiques de leurs transport et stockage
- les minéraux qu’elles contiennent ne sont généralement pas chélatés, donc que partiellement assimilables avec le risque de toxicité conséquent
- elles présentent pour la plupart une charge en minéralité globale dissoute, les « résidus à sec », dont l’importance abaisse après ingestion la fluidité du sang avec les conséquences négatives.
Le coût pour les collectivités locales et les contribuables
D’après eco-emballage et Adelphe, le coût de collecte sélective et traitement d’une tonne d’emballage de verre usagé est de 91€/tonne. L’industrie verrière rachète ce verre 21€/tonne et eco emballage reverse 30€/tonne , soit un coût net pour la collectivité de 40€/tonne à comparer au coût du traitement du "tout venant" soit 171€/tonne. Sachant que 7 bouteilles sont recyclées pour 3 jetées aux ordures ménagères, chaque tonne de verre réutilisée plutôt que recyclée génère une économie pour la collectivité de 79€/tonne.
UNIGAIA crée un réseau de franchises coopératives dans le cadre de l’économie sociale et solidaire sous forme de SCIC (Société Coopérative d’Intérêts Collectifs). L’intérêt de la formule est de pouvoir intégrer au niveau local toutes les parties prenantes : salariés, clients, fournisseurs, collectivité locales et autres partenaires locaux.
Le modèle économique est basé sur les produits suivants :
produits alimentaires liquides (eau, boissons bio aromatisées, bières…)
produits alimentaires solides (thé, café, tisanes bio…)
produits non-alimentaires (fontaines de filtration, économiseurs d’eau…)
prestations partenaires locaux (vente d’eau, lavage et gestion consigne, livraison…)
Il s’agit de fédérer autour de l’unité de production les acteurs locaux comme des producteurs bio, de la restauration à domicile, des producteurs de bière ou de vin voulant entrer dans un système de consignation.
L’investissement pour créer une franchise est de l’ordre de 100k€ en matériels (système de purification d’eau, d’embouteillage, de lavage et de livraison) + 40k€ de trésorerie de démarrage.
Vous êtes intéressés par une franchise sur votre territoire ? Contactez-nous !
association de préfiguration de SCIC-SAS UNIGAIA
16, rue Denfert-Rochereau, 33220 Sainte Foy La Grande